Chroniques d'une joggeuse ordinaire : une bonne résolution, c'est de saison

Va 2013 ... vienne 2014 ...

 Après ces moments de grande évasion et d’efforts intenses, ces voyages inoubliables, ces escapades déraisonnables, ces challenges accomplis, ces courses éreintantes, ces marathons mémorables, ces heures et ces heures à courir et à se faire plaisir, ces quelques bobo …

Que nous apportera 2014? Il y a déjà beaucoup de projets : des marathons pour rire, en ligne ou en pente, des sorties de bord de mer, des chemins vagues, des challenges pour les challengers, ... bref, chacun pourra trouver son bonheur.

Et le blog en 2014 ?

Maintenant que nous sommes toujours plus nombreux à être des ainées plus ainées et des vétérans plus vétérans, nous pourrions parler de nous: «Les quinquas et la course à pied». Beaucoup de thèmes peuvent être abordés: les entrainements adaptés à l’âge, les nouvelles formes de course à pied et d’addiction, les petits maux et les grands plaisirs, les toxines qui font du bien …

Et si cette année, le blog était plus collectif et que chacun y apportait quelque chose ?

Voilà une bonne résolution à prendre pour 2014.

TRES BELLE ANNEE A TOUS 

Quelques souvenirs de 2013 ...

  

La joggeuse ordinaire

J'ai l'impression qu'on a raté quelque chose ...

Chroniques d'une joggeuse ordinaire : Bravo les amis !

Le blog c'est comme le marathon. Le plus difficile c'est de s'y mettre. Faire le premier pas, trouver la motivation, quelque chose d'important à raconter. Et là, je ne pouvais pas manquer l'occasion...

Alors qu'avec l'automne, les baskets se faisaient plus lourdes, les mollets plus fatigués et les jours plus courts, d'aucuns en profitaient pour lever le pied. Pour d'autres, blessures ou lassitude marquaient la fin de saison. Mais certains avaient encore la niaque et ils sont même allés à Jarnac.

Même s'il y eut des tentatives fallacieuses pour y renoncer, la cohésion du groupe était trop forte. Ils sont partis à cinq et, à cinq, ils ont passé la ligne d'arrivée. Dans quel état? Je n'en sais encore rien.
Mais voilà ce que je sais.

Anne et Yves ont bouclé leur quatrième marathon de l'année (et pour Yves, l'année n'est pas encore finie ). Faire un marathon dans des conditions normales ne les intéresse plus. Il leur faut maintenant un petit plus : du dénivelé, une tempête ou la prise de produits fermentés sur le parcours. Jamais, ils n'abandonnent et, vous verrez, encore vingt fois sur le bitume ils remettront leurs baskets.

Nadine et Henri qui, depuis longtemps, jurent leurs grands dieux que plus jamais ils ne feront de marathon terminaient leur deuxième de l'année. Je me demande d'ailleurs si dans ces moments-là ils sont conscients et se souviennent de tout ce qu'ils nous disent à longueur d'année sur le côté déraisonnable du marathon et de l'effort inutile.

Et notre petite dernière, Gene, qui semblait pourtant assez saine d'esprit ? S'est elle aussi laissée gagner par cette folie douce. C'est vrai qu'elle avait déjà donné quelques signes avant-coureurs mais de là à penser qu'elle se joindrait à eux il y avait un pas qu'on n'aurait pas osé franchir.

Samedi, après avoir bouclé les 42, 195 km, ils nous envoyaient un message inquiétant. Apparemment, le plus dur restait encore à venir : «ce soir le cognac va couler à flot». Mon dieu, dans quel état allons-nous les retrouver ?

Quoiqu'il en soit, bravo à cette bande de joyeux lurons qui ne cesse jamais de nous épater. On les adore !


Je propose que dans notre prochain numéro, nous approfondissions ce thème du marathon : êtes-vous pour ou contre ? comment l'aborder ? faut-il se préparer sérieusement ? une cure d’alcool fort est-elle conseillée dans la phase d’entraînement ?
Envoyez-nous vos avis éclairés, vos commentaires ou vos expériences.

Chroniques d'une joggeuse ordinaire

Silence, on court !

Chroniques d'une joggeuse ordinaire : la reprise, tout doucement ...

Ce weekend, c'était la rentrée des classes avant l'heure. A Nil Saint Vincent pour certains, à la Descente de La Lesse pour d'autres, voire aux deux pour les stakhanovistes du macadam. Au Brabant wallon, ce n'était pas les chaleurs du bord du Nil comme l'année passée mais le déluge après la course. A Dinant, c'était le topless sans se traîner dans la boue.  
Côté blog, la blogueuse ordinaire a eu trop chaud cet été ... Elle reprend la plume en douceur et vous promet prochainement quelques photos compromettantes et histoires croustillantes, de quoi alimenter nos conversations pendant les entraînements ...
(Comme si on en avait besoin !)

Chroniques d'une joggeuse ordinaire : une petite brève avant la route des vacances

Hier, c'était la dernière avant la trêve estivale. C'était à Oisquercq et il fait toujours chaud. En arrivant sous une pluie battante, nous nous sommes dit que cette année ferait exception. Mais non, nous avons couru sous le soleil et dans la chaleur, presque dans un sauna avec cette vapeur d'eau qui remontait du sol le long du canal.
Nous étions encore une belle petite bande de l'USBW qui s'est illustrée chez les jeunes et les moins jeunes (Lucie 1ère, Sabine 1ère, Françoise 1ère, Brigitte 2ème et Luis 3ème). Tout cela fait encore beaucoup de bouteilles à boire, les sacs étaient bien lourds au retour.

Même sans courses à venir, nous continuerons à nous voir, nous écrire et, de toute façon, nous donner des nouvelles.
Très bonnes vacances à tous !   

Quelques souvenirs du BBQ chez Nadine et Henri